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«Toutes les espèces animales multicellulaires peuvent générer des lignées»

Rendue publique en 2015 par son créateur Amos Bairoch, la base de données Cellosaurus, hébergée par l’Institut suisse de bioinformatique, décrit aujourd’hui près de 150 000 lignées cellulaires utilisées dans les laboratoires du monde entier

Microscopie électronique de cellules HeLa – la plus utilisée dans le monde – juste après leur division. — © National Institutes of Health (NIH)
Microscopie électronique de cellules HeLa – la plus utilisée dans le monde – juste après leur division. — © National Institutes of Health (NIH)

Après les protéines, ce sont les cellules qui intéressent désormais Amos Bairoch, bioinformaticien au SIB, Institut suisse de bioinformatique – qu’il a cofondé en 1998 – et professeur à l’Université de Genève. Le chercheur a eu à cœur, durant toute sa carrière, de rendre accessible à la communauté scientifique l’ensemble des connaissances sur les briques du vivant. Depuis plus de dix ans, il n’a de cesse d’enrichir Cellosaurus, la première encyclopédie des lignées cellulaires utilisées dans les laboratoires du monde entier. La base de données, hébergée sur Expasy – le portail SIB des ressources bioinformatiques suisses – comptabilisera cette année 150 000 lignées.

Le Temps: Comment définissez-vous une lignée cellulaire?

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